évaluation avec corrigé (1 bac) - plusieurs supports


OMARI Abdellatif (?) [176 msg envoyés ]
Publié le:2012-05-11 18:16:23 Lu :8885 fois
Rubrique :Projets, lectures et évaluations  
  • 4.0 stars
  • 1
  • 2
  • 3
  • 4
  • 5
6 votes    4/5


Omari Abdellatif


Evaluation: 1ère année secondaire qualifiant

(Second semestre) Texte 1

Le soir, quand tous dorment, les riches dans leurs chaudes couvertures, les pauvres sur les marches des boutiques ou sous les porches des palais, moi, je ne dors pas. Je songe à ma solitude et j'en sens tout le poids. Ma solitude ne date pas d'hier.

Je vois, au fond d'une impasse que le soleil ne visite jamais, un petit garçon de six ans, dresser un piège pour attraper un moineau mais le moineau ne vient jamais. Il désire tant ce petit moineau! II ne le mangera pas, il ne le martyrisera pas. Il veut en faire son compagnon. Les pieds nus, sur la terre humide, il court jusqu'au bout de la ruelle pour voir passer les nes et revient s'asseoir sur le pas de la maison et attendre l'arrivée du moineau qui ne vient pas. Le soir, il rentre le coeur gros et les yeux rougis, balançant au bout de son petit bras, un piège en fil de cuivre.

Ahmed SERIOU, La Boîte à merveilles

Texte 2

Condamné à mort!

. Voilà cinq semaines que j'habite avec cette pensée, toujours seul avec elle, toujours glacé de sa présence, toujours courbé sous son poids!

Autrefois, car il me semble qu'il y a plutôt des années que des semaines, j'étais un homme comme un autre homme. Chaque jour, chaque heure, chaque minute avait son idée. Mon esprit, jeune et riche, était plein de fantaisies. Il s'amusait à me les dérouler les unes après les autres, sans ordre et sans fin, brodant d'inépuisables arabesques cette rude et mince étoffe de la vie. C'étaient des jeunes filles, de splendides chapes d'évêque, des batailles gagnées, des thétres pleins de bruit et de lumière, et puis encore des jeunes filles et de sombres promenades la nuit sous les larges bras des marronniers. C'était toujours fête dans mon imagination. Je pouvais penser à ce que je voulais, j'étais libre.

Victor Hugo, Le Dernier jour d'un condamné


I-Etude de texte: 10 pts

1-Situez les passages dans les oeuvres d'où ils sont extraits(1pt)

2-Quel est l'un des principaux thèmes communs aux deux oeuvres évoqué dans chacun des deux textes? (1pt)

3-Quel est l'indice grammatical dans les deux énoncés qui permet de dire que les deux textes appartiennent à des genres littéraires proches? (1pt)

4-Qu'est-ce que les deux narrateurs opèrent par les deux outils «Autrefois » et «Je vois»par rapport au présent des deux narrateurs dans les paragraphes qui précèdent? (1pt)

5-Quelle est l'étape de la vie passée évoquée par chacun des deux narrateurs dans les deux textes? (1pt)

6-Quelle était la principale préoccupation de chacun des deux narrateurs-personnages dans le passé? (1pt)

7-Lequel des deux narrateurs-personnages était heureux, lequel était malheureux ? (1pt)

8- -«Le soir, quand tous dorment, les riches dans leurs chaudes couvertures, les pauvres sur les marches des boutiques ou sous les porches des palais, moi, je ne dors pas. Je songe à ma solitude et j'en sens tout le poids»

-«Voilà cinq semaines que j'habite avec cette pensée, toujours seul avec elle, toujours glacé de sa présence, toujours courbé sous son poids! »

a-Qu'est-ce qui justifie dans ces deux fragments que le pronom personnel«je» se réfère au narrateur («je» narrant) et non au personnage(«je» narré)? (0,5pt)

b-Le mot «poids», dans les deux énoncés, signifie:

Se sentir ennuyé ? -Se sentir comme écrasé? -Se sentir très fatigué?

Relevez la bonne réponse (0,5pt)

9- -«Je vois, au fond d'une impasse que le soleil ne visite jamais, un petit garçon de six ans»

-«Je pouvais penser à ce que je voulais, j'étais libre. »

Quelle est la nature et la fonction de chacune des propositions subordonnées soulignées? (1pt)

10 -«II ne le mangera pas, il ne le martyrisera pas. Il veut en faire son compagnon»

-«Chaque jour, chaque heure, chaque minute avait son idée. »

a-La figure exprimée par chacun des deux fragments est-elle: Une énumération? / Une accumulation ?/ Une gradation? Relevez la bonne réponse (0,5)

b-Quel effet de sens produit cette figure dans le second fragment? (0,5)


II-Production écrite: 10pts

Sujet: Jugés coupables, Antigone et le narrateur du roman de Victor Hugo ont été condamnés à mort. Or, depuis, des voix s'élèvent de plus en plus à travers le monde pour dénoncer avec force la peine capitale et réclamer qu'elle soit remplacée par la prison à vie.

Etes-vous de cet avis?


Eléments de Réponse (A titre indicatif)


Etude de texte: 10 pts 1-Les deux passages se situent au début du roman / ouvroirs / des incipits (1 pt). Acceptez l'une de ces trois réponses 2-Le thème de la solitude (1 pt) 3-Le pronom personnel «je» (1 pt) 4-Des retours en arrière (analepses) (1 pt) 5-L'enfance dans le 1er texte, la jeunesse (ou l'adolescence) dans le second (1 pt) 6-Les moineaux pour le narrateur-personnage du 1er texte, les jeunes filles pour le narrateur-personnage du 2ème texte (1 pt) 7- Le narrateur-personnage du 1er texte était malheureux, celui du second était heureux 8- a: le temps du présent, temps du discours (0,5 pt) b: se sentir comme écrasé (0,5 pt) 9- «que le soleil ne visite jamais»( 0,5pt) Nature: proposition subordonnée relative, dite adjective Fonction: épithète «à ce que je voulais» (0,5pt) Nature: proposition subordonnée complétive Fonction: complément d'objet indirect 10- a-gradation (0,5) b-Dans le présent du condamné à mort il n'y a plus qu'une seule idée fixe: la peine de mort (0,5)

Production écrite: 10pts


Tentative de reprise:

Pour épouvanter et protéger la société contre certains crimes odieux et certains criminels dangereux, la loi a prévu la peine de mort. Cependant, des voix s'élèvent de plus en plus dans le monde pour dénoncer cette sentence et réclamer sa substitution par la prison à vie. Dans la mesure où la peine de mort, au lieu de conjurer le mal l'aggrave, je ne peux qu'être d'accord avec cet avis.


D'abord, il n'est pas donné à la société de condamner à la peine de mort. Punir en retranchant l'me d'un individu est, comme le dit Victor Hugo, l'apanage de Dieu, et que le rôle de la société est de corriger pour améliorer. D'ailleurs, la réalité témoigne que punir par la sentence de la peine capitale, loin d'édifier le peuple, le démoralise, et ruine en lui toute sensibilité et toute vertu.

Ensuite, condamner un individu à la peine de mort, n'est-ce pas condamner avec lui tous les membres innocents de sa famille, et que c'est là un crime social horrible que commet la justice? L'exemple du condamné du Dernier jour est significatif. Il a laissé derrière lui une mère de soixante quatre ans qui mourra du coup, une épouse malade qui, si elle ne mourait pas, deviendrait folle, et une petite fille de trois ans qui vivra seule et orpheline, et sera à jamais méprisée et repoussée par la société.

Enfin, le criminel, lui même, n'est-il pas victime de la société, et par conséquent demeure un innocent? Lorsque celui à qui l'on retranche la tête a vécu sans famille, sans parents, et n'a reçu alors ni éducation, ni instruction, ni soins, sa faute n'est-elle pas due à sa destiné, plutôt qu'à lui? L'histoire du friauche est exemplaire en ce sens. Et puis, ne doit-on pas regarder le crime comme une maladie, et cette maladie aura ses médecins qui remplaceront nos juges, ses hôpitaux qui remplaceront nos bagnes?


Bref, on peut dire que les voix qui s'élèvent contre la peine de mort ont tout à fait raison, et qu'à tous égards, cette sentence s'avère inutile, voire même barbare. Cependant, certains crimes contre l'humanité ne méritent-ils pas plus que la peine de mort?

Sujets similaires
évaluation la boite à merveilles avec corrigé (33sq)
évaluation-corrigée - la boite à merveilles-art de vendre et d 'acheter
Boîte à merveille évaluation - corrigé
Moteur de recherche

Derniers articles sur le forum
LE PERE GORIOT  Vu 1667 fois
Anarchie  Vu 835 fois



Réponse N°11 21158

OMARI Abdellatif
Par Idoubiya Rachid(Inspecteur)le 2012-05-11 19:38:08



Salut Monsieur OMARI Abdellatif et merci pour le partage.




Je me suis mis dans la peau de nos élèves et j'ai essayé de répondre aux questions sans voir les réponses...Voilà ce que cela donne. 




I-Etude de texte: 10 pts




1- Je situe les passages dans les oeuvres d'où ils sont extraits: il s'agit du début des oeuvres: la Boite à merveilles et Le dernier jour d'un condamné. C'est ce qu'on appelle généralement: incipit. (1pt)




2-L'un des principaux thèmes communs aux deux oeuvres évoquées dans chacun des deux textes est le thème de la solitude: Justification: " Je songe à ma solitude et j'en sens tout le poids. Ma solitude ne date pas d'hier."/ "... semaines que j'habite avec cette pensée, toujours "seul" avec elle..." (1pt)




3- L'indice grammatical dans les deux énoncés qui permet de dire que les deux textes appartiennent à des genres littéraires proches est le pronom personnel sujet: "je": " Je songe à ma solitude" / "j'habite avec cette pensée", les adjectifs possessifs: "ma" et "mon": " Ma solitude ne date pas d'hier."/ " Mon esprit, jeune et riche, était plein de fantaisies." et le pronom coi : "me" : "

il me semble qu'il y a plutôt des années "(1pt)




4- Le présent utilisé a une valeur de présent de l'énonciation... (1pt)




NB- J'ai trouvé cette question un peu ambiguë...




5-L'étape de la vie passée évoquée par chacun des deux narrateurs dans les deux textes sont: (1pt)




Texte 1 "Je vois, au fond d'une impasse que le soleil ne visite jamais, un petit garçon de six ans, ..." - enfance innocente.




Texte 2 "C'étaient des jeunes filles, de splendides chapes d'évêque, des batailles gagnées, des thétres pleins de bruit et de lumière, et puis encore des jeunes filles et de sombres promenades la nuit sous les larges bras des marronniers." Désinvolture et insouciance.




6-La principale préoccupation de chacun des deux narrateurs-personnages dans le passé: (1pt)




Texte 1: "Je vois, ... un petit garçon de six ans, dresser un piège pour attraper un moineau ... Il veut en faire son compagnon. Les pieds nus, il court jusqu'au bout de la ruelle pour voir passer les nes et revient s'asseoir sur le pas de la maison et attendre l'arrivée du moineau qui ne vient pas... - Piéger des moineaux pour en faire des amis.




Texte 2: "Mon esprit, jeune et riche, était plein de fantaisies. Il s'amusait à me les dérouler les unes après les autres, sans ordre et sans fin, brodant d'inépuisables arabesques cette rude et mince étoffe de la vie." - Satisfaire des fantaisies: désirs les plus faux...




7- Sidi Mohammed: narrateur-personnage était malheureux:"Ma solitude ne date pas d'hier."




- Le condamné: narrateur-personnage était heureux: " C'était toujours fête dans mon imagination." (1pt)




8- -«Le soir, quand tous dorment, les riches dans leurs chaudes couvertures, les pauvres sur les marches des boutiques ou sous les porches des palais, moi, je ne dors pas. Je songe à ma solitude et j'en sens tout le poids»




-«Voilà cinq semaines que j'habite avec cette pensée, toujours seul avec elle, toujours glacé de sa présence, toujours courbé sous son poids! »




a- Ce qui justifie dans ces deux fragments que le pronom personnel «je» se réfère au narrateur («je» narrant) et non au personnage(«je» narré), c'est que cela coïncide avec le moment de l'écriture: utilisation du présent de l'énonciation. Autrement dit, l'indication: au soir, c'est à dire ce soir... " "Voilà cinq semaines..." veut dire, Maintenant, cela fait cinq semaines... (0,5pt)




b-Le mot «poids», dans les deux énoncés, signifie: Se sentir comme écrasé.(0,5pt)
Relevez la bonne réponse 








9- -«Je vois, au fond d'une impasse que le soleil ne visite jamais, un petit garçon de six ans»




-«Je pouvais penser à ce que je voulais, j'étais libre. »




- La nature de: "que le soleil ne visite jamais" est subordonnée relative. Sa fonction: épithète
- La nature de: " à ce que je voulais" est subordonnée complétive. Sa fonction: COI.




10 -«II ne le mangera pas, il ne le martyrisera pas. Il veut en faire son compagnon» gradation Montante?




-«Chaque jour, chaque heure, chaque minute avait son idée. » gradation descendante.




a-La figure exprimée par chacun des deux fragments est-elle: / Une gradation. (0,5)




b-L'effet de sens que produit cette figure dans le second fragment: l'obsession de l'idée de mort: condamner... (0,5)








Réponse N°12 21159

Sans mais
Par Adi Lachgar(CS)le 2012-05-11 19:50:45



Merci.





Réponse N°13 21160

Même démarche...
Par Idoubiya Rachid(Inspecteur)le 2012-05-11 20:12:14



J'ai suivi la même démarche au niveau de la production écrite...


Nb- Je n'ai pas lu votre production écrite.








Sujet: Jugés coupables, Antigone et le narrateur du roman de Victor Hugo ont été condamnés à mort. Or, depuis, des voix s'élèvent de plus en plus à travers le monde pour dénoncer avec force la peine capitale et réclamer qu'elle soit remplacée par la prison à vie.




Etes-vous de cet avis?




Beaucoup d'assassinats ont été perpétrés dans le monde! Beaucoup d'assassins continuent de vivre alors qu'ils ont commis les crimes les plus atroces! devrions-nous les condamner à mort ou les laisser vivre. Les idées sont partagées: il y'a ceux qui condamnent sans appel les criminels à la peine capitale et ceux qui préfèrent la prison à perpétuité? 




Les détracteurs favorables à la peine capitale et qui veulent en finir avec le criminels avancent les arguments suivants:




D'un côté, les criminels seront logés, nourris par les contribuables pour les crimes qu'ils ont commis! Chaque personne qui souhaite finir sa vie et vivre en étant pris en charge par la société, il n'a qu'à tuer un, deux ou plusieurs personnes! D'un autre côté, le criminel est un être dangereux:, il pourra tuer les gardes responsables de sa vie! Il suffit de constater le chiffre des agents tués par leurs détenus! De plus, les criminels se moqueront d'une société sensible, qui mérite sa faiblesse!




Mais les teneurs d'un discours modéré préfèrent rétorquer avec les arguments suivants:




D'abord, la vie et la mort est une question de civilisation: les hommes ont évolué vers plus de tolérance et de compréhension, même envers les pires des créatures! L'être humain civilisé et social doit mettre un terme à son état sauvage, celui de la nature... Seul le côté culture doit être pris pour une valeur universelle! En suite, la société est loin d'être faible! La société éduque contre la violence, lutte contre la pauvreté et l'ignorance, donne à chacun sa chance pour que jamais des crimes ne soient commis! En fin, le crime n'est pas une question de sauvagerie: les hommes ne vivent pas dans la jingle, mais dans la cité! Or la cité est le lieu de la protection et de la sûreté: ne donnons pas aux criminels cette idée que les hommes honnêtes sont faibles et démunis!




A mon avis, j'opte pour la tolérance et la compréhension! La condamnation à mort est une vengeance non une punition. Je préfère aussi qu'il ait des écoles, des lycées et des universités, avec la vraie chance de chacun pour y accéder et y bénéficier...




















Réponse N°14 21209

L'évaluation
Par OMARI Abdellatif(CS)le 2012-05-12 13:37:18



Bonjour cher ami et collègue Idoubya,

Dans la mesure où vos réponses rejoignent celles de mon corrigé (excepté pour la question N°4, qui vous a semblé ambiguë, et vous avez raison, car par le mot «présent» je voulais dire «par rapport au moment de l'énonciation», je considère que l'évaluation n'est pas tout à fait ratée, et je ne vous cache pas ma satisfaction. J'ai toujours pensé qu'une évaluation réussie (je ne parle pas de la mienne, loin de là), c'est celle dont les réponses à son questionnement sont celles attendues par la majorité des enseignants (Je parle de l'évaluation de l'examen particulièrement dont "les éléments de réponse " posent toujours problème). Et puisque Monsieur Idoubya a trouvé la 4ème question ambiguë, que dire de nos élèves, surtout lorsque la majorité des questions seraient ambiguës ?

  Mais dans la mesure, aussi, où certaines de vos réponses sont riches et diversifiées sans qu'elles s'éloignent de l'esprit de la réponse attendue, vous êtes parmi ceux qui comprennent à sa juste valeur l'indication «à titre indicatif». Ma réponse à la 3ème question, par exemple, s'est limitée au pronom personnel «je», mais vous, vous avez suggéré tous les outils de la première personne, car qui dit «je» dit aussi tous les déterminants possessifs et les pronoms personnels sujets ou compléments de la première personne (moi, me). Dans ma cinquième question, je voulais insister sur le mot «principalement» pour la simple raison que le mot «filles», dans le second texte, se répète avec insistance «et puis encore des jeunes filles», et dans mon esprit la réponse à cette question devait être uniquement «les filles», comme préoccupation principale, à côté des autres, cependant, si l'élève répond par une série de faits «filles, thétres, promenades», la réponse est correcte. Mais on peut prétendre que l'évaluation doit être au niveau des élèves. S'il s'agit de nos pauvres élèves, certes, mais il ne faut pas oublier les élèves du groupe Aniss ou du groupe la Romandie, et c'est pour cette raison que j'ai toujours pensé que nos élèves doivent être soumis et familiarisés en classe à des évaluations plus subtiles afin de les adapter à celle de l'examen qui n'est qu'un simple jeu pour les élèves des groupes cités.

Quant à l'esprit de l'évaluation en soi, après l'étude d'une œuvre, d'une esthétique et d'une thématique particulières (le choix du texte, les objectifs escomptés et les compétences qui seraient testées par une série de questions construites, et non pas à tort et à travers, ou passer du coq à l'ne), cela est une autre affaire.

Pour la production écrite, je répondrai bientôt par un petit mot.

Merci cher ami Idoubya pour le partage, cependant, parmi nos collègues, il y en a qui savent plus que nous sur ce phénomène de l'évaluation.

         

Tous mes respects





Réponse N°15 21239

Merci
Par BAKKOU Mbarek(Prof)le 2012-05-12 20:53:53



Mille mercis de votre fructueux effort





Réponse N°16 21250

effet de sens
Par brahim el harfi(CS)le 2012-05-13 05:58:00



bonjour chers collègues

un grand merci pour C Omari et C Rachid

juste une petite remarque qui concerne la question

a-La figure exprimée par chacun des deux fragments est-elle: Une énumération? / Une accumulation ?/ Une gradation? Relevez la bonne réponse (0,5)

b-Quel effet de sens produit cette figure dans le second fragment? (0,5)

l'effet de sens ici est la richesse et la profusion des idées et des activités par opposition au présent où seule une idée hante son esprit. d'ailleurs, il va énumérer les différentes activités effectuées: thétre, promenade,..

Amicalement




confidentialite