Compte rendu d'une expérience!


Jaafari Ahmed (Prof) [931 msg envoyés ]
Publié le:2013-04-21 17:44:23 Lu :5982 fois
Rubrique :Espace collège  
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Merci, cher ami, M. Mahfodi! Votre proposition est très intéressante! 
et cela m'a donné envie de parler des plus belles années que j'ai passées avec mes élèves dans le cycle collégial. Et puis, je voudrais soulever une question: Pourquoi à chaque passage d'un cycle à l'autre, nos élèves sont remis à zéro? ceci, je l'ai constaté au collège, à chaque arrivée,des premières années,nous nous retrouvons avec des élèves qui n'ont rien à dire! je trouvais la situation normale, un peu! mais une fois, par hasard, je suis tombé sur un manuel de C6" du primaire!et puis, j'ai cherché celui de C5! quelle était ma surprise de constater que les élèves font beaucoup de choses, et nous ne faisons en réalité qu'approfondir ce qu'ils ont déjà vu!même les textes de lecture: ils ont des extraits variés la gloire de mon père, Mme Bovary..etc! mais qu'arrive-t-il ? quand ils passent au collège? est-ce l'espace qui change qui gomme tout? 
ceci, je l'ai constaté aussi, au lycée, et le programme que je vais dérouler ci-dessous, montre ce que les élèves font dans le cycle collégial. mais dès qu'ils arrivent au lycée, plus rien!!!! j'ai eu la chance de travailler beaucoup d'années dans ce cycle que j'adore, à tel point que j'ai appris le programme par cœur!et quand mes lycéens me disent je n'ai jamais fait ci ou ça: je leur récite les leçons du collège: tenez , par exemple, le schéma narratif, c'est un travail colossal au collège, mais dès qu'on arrive au lycée, les professeurs,se tuent à expliquer aux élèves ce que veut dire une situation initiale, un incident...etc..
ce problème; on le constate aussi au niveau de la première année de la fac, les étudiants, arrivent comme s'ils n'ont jamais su ce que veut dire argumenter, ou une figure de style...etc!
alors où est le problème? pourquoi, dans les transitions, les élèves muent, et laissent beaucoup de choses derrière eux! faut-il faire une classe intermédiaire? vous savez la fameuse classe d'observation que nous avions au collège?!!! faut-il rester dans le même établissement: par exemple ceux où il y a aussi bien le collège que le lycée!? 
Bon! voilà un compte rendu d'expérience, que j'ai essayé de relater aussi fidèlement que possible! juste pour montrer que tout ce qui se fait au collège est laborieux et devrait normalement donner de très bons résultats!
Mais aussi, pour informer les collègues du lycée que les élèves qu'ils reçoivent sont censés avoir acquis beaucoup de choses!
Le cycle collégial compte trois ans, qui correspondent à six périodes, chaque année deux périodes par semestre, avec un profil de sortie.
1- La première année du cycle collégial : la première période s'intitule « les formes simples du récit». Elle se subdivise elle-même en trois séquences, chacune a un objectif.
La séquence I a pour objectif « Raconter pour informer», elle dure deux mois.
Chaque quinzaine correspond à un genre de texte. Ce genre servira de support à toutes les activités de la semaine, qui sont en nombre de quatre : la lecture, la grammaire, l'activité orale et la production écrite. La deuxième semaine, la communication alterne avec la grammaire.
Les quatre activités de la semaine entretiennent entre elles des rapports très étroits. En effet, il y a une  entrée  au début de la semaine, et il y a une sortie à la fin de la semaine. Ainsi, le texte présenté en lecture sert de modèle à la production écrite. La leçon de langue ou de communication fourniront des outils pour confectionner l'écrit. L'activité orale, quant à elle, permettra de généraliser le thème et de se l'approprier.
Si on veut donner une comparaison pour expliquer cette relation entre les activités de la semaine ( chose qu'on doit faire avec les élèves au début de chaque année), on dira que la lecture est comme une visite que l'on ferait à un lieu pour en faire la découverte et le reportage. Prenons un exemple d'une boulangerie-ptisserie. La lecture serait la contemplation de la vitrine, l' étalage, où sont exposés les gteaux,( formes, couleurs, constitution ,leurs noms, prix.etc) ; la grammaire serait la visite de l'arrière boutique, l'atelier où se confectionnent ces gteaux, là on apprendra, la recette (enfin quelques étapes.) ; l'activité orale, serait une discussion sur les différents gteaux, leurs goûts, les occasions où on les sert.etc. la production écrite viendrait boucler la semaine, en demandant aux apprenant de s'essayer aux gteaux, les plus simples qui soient !
Dans ce sens les quinzaines s'enchaînent :
La première semaine se déroule dans le texte historique comme genre, avec les indicateurs de la chronologie. La deuxième semaine s'intéresse au fait divers, où le passé composé est de mise. 
Toutes les quinzaines, il y a une évaluation-soutien qui permettra de mesurer le degré d'atteinte des objectifs, et servira à planifier la semaine de régulation, à la base de laquelle on élabore l'évaluation sommative.
La troisième quinzaine est consacrée au compte-rendu, comme genre, soit d'un livre, soit d'un film, dans la presse écrite.
La quatrième quinzaine propose les supports de l'affiche et celui de la photo pour boucler la séquence.
Ainsi ces quatre genres de textes, tous narratifs, convergent vers un seul but, lequel est d'informer.
La séquence II s'intitule « Raconter pour distraire", suivant le même modèle,elle propose elle-aussi , deux genres de textes, qui serviront l'objectif de distraire. Elle se limite à deux quinzaines, la première est réservée à la bande-dessinée et la deuxième à l'anecdote.
La séquence III qui clôt le premier semestre dévoile un autre côté de la narration " raconter pour véhiculer une morale, ou pour émerveiller ». la fable et le conte semblent tout indiqués pour l'objectif préconisé.
La première période s'achève. Le récit est suspendu pour laisser place à la description.
La deuxième période qui doit démarrer juste après les vacances, s'intitule « le narratif et le descriptif ». Elle se répartit elle aussi en trois séquences.
La première séquence a pour objectif : la description objective. Chaque quinzaine s'intéressent à un élément :
- La première porte le titre : décrire un lei
- La deuxième : décrire un personnage
- La troisième : décrire un animal
- La quatrième : décrire un objet.
- Les élèves doivent acquérir des notions et des outils qui servent à la description objective.
La séquence II s'intéresse plutôt à la description subjective, et offrent à l'apprenant de travailler la description des mêmes éléments que la première séquence, mais cette fois d'une façon subjective.
La séquence III « les rapports entre la narration et la description » opère le retour à la narration pour y introduire la description.
Il est à noter que le temps imparti à cette dernière séquence , qui vient à la fin de l'année, dépend du rythme d'apprentissage des apprenants, et des aléas des vacances, et donc que ce soit en une quinzaine ou en deux, l'objectif est de montrer aux élèves qu'il n' y a pas de narration sans description, et que c'est très rare de trouver une description située en dehors d'une narration.
Le profil de sortie de la première année du cycle collégial est un apprenant ayant acquis les rudiments de la narration ; pouvant produire un petit texte narratif, ponctué de description, et qui doit informer, distraire ou véhiculer une morale.
II- La deuxième année du cycle collégiale : elle correspond aux périodes trois et quatre.
La troisième période s'intéresse aux médias et surtout aux textes journalistiques et la quatrième au thétre.
Suivant le modèle vu en première année, les activités s'enchaînent, réparties en séquences. Trois séquences pour chaque périodes.
Ainsi la séquence I a pour titre- objectif général " reconnaître et classifier les différents médias » la deuxième « identifier et analyser les caractéristiques d'un texte journalistiques» la troisième "reconnaître et expliquer les différentes formes d'écrits dans un journal».
Cette séquence III est subdivisée en trois partie : A- l'information d'actualité, B- l'information d'opinion, et C- l'information de service. Chaque partie développe les types d'articles qui servent à véhiculer ses objectifs. Le but étant de donner à l'apprenant une idée sur le rôle et la composition de la presse écrite.
Ce qui rend les activités attrayantes, c'est le fait d'inclure dans la répartition des activités, une heure chaque quinzaine, réservée au projet d'écriture. Les élèves doivent s'investir dans la confection d'un journal de classe (par exemple).de la première étape qui consiste à recueillir l'information, à la dernière qui passe à la maquette. Là, deux solutions sont à envisager. Soit un journal de plusieurs pages sous forme de reliure, comme une revue. Soit un travail beaucoup plus contraignant mais plus intéressant, à savoir la composition de la «Une» d'un journal ; avec la possibilité de travail d'équipes, pour plusieurs «Une»
la quatrième période qui correspond au deuxième semestre, s'intéresse au thétre. L'objectif général est " Lire un texte thétral ». Elle se compose de trois séquences. La première consiste à distinguer les formes du discours thétral et reconnaître les indications scéniques.
La deuxième séquence apprend à l'élève à distinguer les fonctions des personnages, du dialogue, des lieux et l'espace thétral, et enfin la troisième s'intéresse aux genres thétraux.
Le projet d'écriture, dans cette période, est beaucoup plus intéressant. Puisqu'il consiste, en plus d'écrire une petite pièce, ou au moins une saynète, de les jouer.
Le profil de sortie de cette deuxième année sera donc d'un côté, une aptitude à rédiger de petits textes où le sens de la critique et de l'opinion puisse paraître, et de l'autre, à s'initier à l'écriture thétrale et à l'interprétation des rôles.
III- La troisième année du collège : avec la périodes V et VI, la contrainte est double, puisqu'il faut doter l'apprenant d'un certains nombre de savoirs et de savoir-faire, et en même temps ,le préparer à passer l'examen de certification, qui permettra de juger s'il est apte à poursuivre les études au lycée. Ici, le profil est beaucoup plus institutionnalisé. D'où la difficulté de montrer des souplesses de programmation, qui répondraient aux besoins de chaque groupe-classe en particulier.
La cinquième période commence dans un esprit de fonctionnalités. La correspondance est un thème jugé utile à l'élève. Il apprendrait à recourir à la rédaction des lettres. Personnelles d'abords, ces lettres sont amicales ou familiales, des faire-part pour toutes les occasions, puis viendra le tour des lettres administratives : la lettre de motivation, la demande d'emploi, le C.V ou la réclamation. Un autre volet est consacré à la correspondance littéraire, la biographie, puis l'autobiographie. Mais la contrainte du temps, obligent l'enseignant à opérer des choix, dans ce programme plutôt chargé. Ce choix doit se faire en concertation avec tous les autres collègues du même établissement, parce qu'il y aura l'examen normalisé local. En effet, le semestre est sanctionné par une composition normalisée qui évalue toutes les troisièmes années de chaque établissement. L'épreuve est élaborée en commun accord entre les enseignants. Elle prendra en considération les rythmes d'apprentissages des tous les apprenants, mais aussi le degré de réalisation de chaque enseignant, qui n'est jamais le même chez tous les enseignants, pour différentes raison. D'où, en réalité, la difficulté  Ã  évaluer le vrai profil de chaque apprenant.
La sixième période, initiera l'élève à la lecture d'une œuvre «intégrale», qu'il n'est pas obligé d'acquérir puisque des grands fragments cohérents sont proposés dans le manuels scolaire, en guise de textes de lecture.
L'essentiel du travail de cette période porte sur la compréhension du schéma narratif, en se basant sur l'œuvre, à savoir le célèbre roman d'aventures « l'île au trésor». Ainsi, l'élève apprendra -t-il à utiliser d'abord le paratexte, pour formuler des hypothèses de lecture, puis à délimiter l'état initiale, l'incident, les péripéties, les rebondissements, le dénouement et l'état final.
Un projet d'écriture viendrait couronner cette période. En effet , l'idéal serait que l'élève produise un récit dans lequel, il investirait ses acquis. Mais l'entreprise est laborieuse et nécessite une bon préparation, de pus la contrainte de l'examen régional « du brevet» décourage aussi bien les enseignants que les apprenants. Cependant, ce n'est pas impossible, et c'est même agréable, quand on se laisse prendre : j'en ai fait deux fois l'expérience, deux fois, avec comme résultats, deux beaux petits récits.
Le profil de sortie de la troisième année du collège correspond à un apprenant qui doit maîtriser une narration avec description, qui doit avoir déjà commencé une lecture pour soi, qui le préparera à aborder la littérature dans des œuvres intégrales.
Semaine pédagogique :
Pour illustrer ce qui a été avancé, on va s'intéresser à une semaine de pratique en classe.
A- La population cible : une classe de deuxième année du cycle collégial. Ce sont des élèves gés entre treize et quatorze ans, sans oublier les ayant-droit à un retard et les précoces. Souvent, il y a sureffectif, puisque la moyenne du nombre d'élèves dans une classe s'élève à 38 élèves, surtout pour des salles de dix mètres carrés. Ce sont des classes mixtes, de niveau plutôt faible, qui arrivent du primaire, ne sachant, dans le meilleur des cas, que la lecture vocale et la mémorisation. Les bons éléments sont surtout ceux issus des écoles privées, ou enfants de familles nucléaires, dont les parents sont fonctionnaires. Et les filles, comme toujours, sont plus studieuses que les garçons.
B- La semaine proposée :
 Pour la deuxième année, je vais présenter une semaine qui figure dans la quatrième période, réservée au thétre.
Nous sommes dans la séquence des genres thétraux, plus précisément, le thétre comique. Il faut signaler qu'il y a trois genre de manuels préconisés par la Charte nationale d'éducation et de formation, qui présentent le même programme avec des supportes différents, et parfois des progressions différentes. Ces manuels sont : Parcours, Passerelles, et l'heure du français. Chaque circonscription à l'intérieur d'une même délégation a hérité d'un choix, qui ne paraît obéir à aucun objectif, puisque nous travaillions avec deux genres de manuels suivant les niveaux (Parcours : 1 et 2 années, et passerelle : 3 année). Toujours est-il que, pour la deuxième année, nous avions le manuel Parcours.
Pour le projet d'écriture, nous avions déjà commencé à élaborer une petite pièce, où nous travaillions, chaque jour, dix à quinze minutes, à la fin de chaque activité doit aboutir à ce projet, de la lecture à la production écrite, séance où nous enrichissions et affinions les petites phrases qui se sont greffées au fil des séances.
La première activité de la semaine :
I- la lecture, ou « je lis et je comprends».
Notre lecture est un passage de la scène 3 de l'acte V, de l'Avare de Molière. 
1- Mise en situation :
- Rappel des notions déjà vues , à propos du thétre comique.
2- Lecture vocale : puis questions :
- Quels sont les personnages de cet extrait ? (Valère et Harpagon)
- Pourquoi Harpagon est-il venu trouver Valère ? (pour lui poser des questions sur sa cassette )
- Pourquoi harpagon est-il en colère ? (Car Valère ne comprend pas de quoi il parle)
- Comment lui parle-t-il ? (avec des reproches)
3- Construction de sens :
- Relevez une réplique où le personnage-acteur s'adresse au public :(aurais-je deviné ?!)
- Qu'est-ce qui montre qu'il s'adresse au public ? ( didascalie : aparté)
- Est-ce que les personnages se comprennent ?(non)
- Qu'est ce qui donne ce malentendu ? (ils parlent de la même façon, c'est-à-dire avec amour : l'un de la personne aimée et l'autre de la cassette adorée, et le féminin «elle/ la» favorise la confusion)
- Comment appelle-t-on ce procédé utilise beaucoup au thétre ? ( le quiproquo)
- Quel effet cela produit-il chez les spectateurs ? ( le rire)
4- Synthèse :
- Qu'est-ce que nous avons vu dans ce passage ? ( un dialogue comique entre Valère et harpagon)
- Qu'est-ce qui fait rire ? (c'est le quiproquo)
5- Lectures des élèves : plus dramatisation de la scène
6- Traces écrites : bilan
7- Travail hors classe : mémorisation de la scène !
8- Projet d'écriture : insérer un quiproquo
II- La deuxième activité de la semaine : la communication : faire des reproches
1- Mise en situation :
Rappel de la scène entre harpagon et Valère ! 
Des élèves dramatisent ce qu'ils ont mémorisé !
2- Présentation :
- Choisir une réplique, exemple :
- «Quelles belles raisons peux-tu me donner. ?!
- Que fait ici Harpagon ? (il fait des reproches à Valère)
- Quel moyen utilise-t-il ? quel type de phrase ? (la phrase interrogative)
3-explicitation
 -que lui reproche-t-il ? (de vouloir se justifier)
-  est- que la question sert à demander es informations ? ( non : elle a le sens de la négation : tu n'as pas de raisonner à me donner.)
4-  Application :
- Proposer des situations de communication qui doivent engendrer des reproches : entre père ou mère et enfant/ professeur et élève..etc.
- Donnez un exemple avec Pourquoi ? comment ? où ? pour faire des reproches.
- Varier les moyens : le conditionnel passé, l'imparfait des verbes devoir et falloir : tu aurais dû/ tu n'aurais pas dû/ tu devais/ il fallait.
- (Exercices dans le manuel)
- 5- Traces écrites :
- Deux ou trois phrases d'élèves
6- Prolongement :
 Demander aux élèves de préparer des petits dialogues où figure le reproche
7- Insérer dans le projet d'écriture une réplique qui exprime le reproche!
III- La troisième activité : l'activité orale :
1- Présentation :
- Les élèves se proposent de jouer les rôles qu'ils auront choisis.
2- Dramatisation de la scène de Valère et d'Harpagon
3- Réemploi libre :
- Chercher des situations qui se prêtent aux reproches.
- Provoquer des situations de quiproquo.
4- Prolongement :
Préparer l'activité de l'écrit, en discutant de la possibilité de réinvestir le reproche et le quiproquo dans une situation de dialogue entre des personnages, dans une scène de la vie quotidienne.
5- Visionner les enregistrement vidéos, que je fais des dramatisation !
IV- La quatrième activité de la semaine : La production écrite :
1- Présentation :
- Choisir une situation proposée par les élèves : des amis qui se préparent à un pique-nique, les jeunes du quartier préparent une campagne de propreté, les membres de la famille discutent des projets de vacances.etc.
2- Délimitation du sujet :
- Choisir les personnages
- Les lieux, le temps
- Le décor et les accessoires.
- Délimiter le nombre de répliques à produire.
- Choisir qui va commencer.
3- Production des répliques :
- Choisir les plus pertinentes.
- Les rectifier si nécessaire.
- Introduire les notions vues en communication : reproches
- Provoquer un quiproquo
- Rester dans le comique.
4- Affinement :
- Relire le dialogue obtenu.
- L'affiner, et Introduire les didascalies nécessaires.
- Le lire expressivement.
5- Traces écrites :
Recopier le dialogue.
6- Projet d'écriture : travailler des didascalies.
























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Réponse N°11 32164

Remerciements
Par mounzil hakim(CS)le 2013-08-31 10:04:46



Merci Monsieur Jaafari pour ce fabuleux compte rendu d'expérience. Votre expérience, aussi riche que enrichissante, servira inéluctablement à tout professeur ayant la volonté (et la conscience) de conduire ses élèves à la parfaite maîtrise de la langue française à la fin du cycle collégial. Encore faut-il que toutes les conditions soient réunies pour l'accomplissement de ce projet, à savoir, un nombre d'apprenants adéquat par classe, la disposition des élèves à l'apprentissage, l'implication de la direction dans les activités thétrales (fournir le cadre et les moyens) et pouvoir étendre le scolaire au parascolaire où l'apprenant trouve un certain épanouissement (clubs: presse, thétre, informatique...).

Cela m'étonne que votre article, aussi intéressant qu'il est ne soit pas commenté, cela est peut-être est dû au choix du titre. Ensuite, quelques erreurs de frappe se sont glissées dans votre compte rendu.*

Encore une fois mille merci.





Réponse N°12 32167

Merci cher ami!
Par Jaafari Ahmed(Prof)le 2013-08-31 20:57:58

Pour votre intérêt! Cet article est venu enrichir les interventions de M. Mahfodi , et c'était dans une période où les collègues étaient préoccupés par les Bac!

D'autant plus qu'il y a très peu d'enseignants du cycle collégial qui participent.

PS: je vais revoir les erreurs, pour les corriger.




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