évaluation comprehension de l'ecrit par: mohamed said elhor la foule hurlait plus haut au-dehors. le gros homme au visage bourgeonné m'a offert à respirer un mouchoir imbibé de vinaigre. -merci, lui ai-je dit de la voix la plus forte que j'ai pu, c'est inutile; je me trouve bien. alors l'un d'eux s'est baissé et m'a lié les deux pieds, au moyen d'une corde fine et lâche, qui ne me laissait à faire que de petits pas. cette corde est venue se rattacher à celle de mes mains. puis le gros homme a jeté la veste sur mon dos, et a noué les manches ensemble sous mon menton. ce qu'il y avait à faire là était fait. alors le prêtre s'est approché avec son crucifix. -allons, mon fils, m'a-t-il dit. les valets m'ont pris sous les aisselles. je me suis levé, j'ai marché. mes pas étaient mous et fléchissaient comme si j'avais eu deux genoux à chaque jambe. en ce moment la porte extérieure s'est ouverte à deux battants. une clameur furieuse et l'air froid et la lumière (Suite...)