par : bilil fatima-zohra évaluation : texte : le baron ne pouvait se lasser d'embrasser candide ; il l'appelait son frère, son sauveur. ah ! peut-être, lui dit-il, nous pourrons ensemble, mon cher candide, entrer en vainqueur dans la ville, et reprendre ma soeur cunégonde_ c'est tout ce que je souhaite, dit candide ; car je comptais l'épouser, et je l'espère encore_ vous, insolent ! répondit le baron, vous auriez l'imprudence d'épouser ma soeur, qui a soixante et douze quartiers ! je vous trouve bien effronté d'oser me parler d'un dessein si téméraire ! candide, pétrifié d'un tel discours, lui répondit : mon révérend père, tous les quartiers du monde n'y font rien ; j'ai tiré votre soeur des bras d'un juif inquisiteur ; elle m'a assez d'obligations, elle veut m'épouser. maître pangloss m'a toujours dit que les hommes sont égaux ; et assurément je l'épouserai._ c'est ce que nous verrons, coquin ! dit le jésuite baron de thunder-ten-thronkh ; et en (Suite...)