Productions écrites - 1bac


Essaidi sara (?) [10 msg envoyés ]
Publié le:2012-05-25 21:56:16 Lu :14739 fois
Rubrique :Lycée et Entraide scolaire  
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  • Professeur : Sara ESSAIDI Plaidoyer contre la violence : La peine de mort.

    Dans quelques instants, encore un homme qui va mourir, encore une de ces victimes de cette loi si cruelle que certains appellent la peine de mort !

    Quelques instants seulement et une pauvre créature si pleine de vie va être exterminée pour toujours en succombant sous les balles du peloton !

    Au milieu de cette place funèbre de la capitale MOQUADICHIOU, un jeune homme debout, entièrement lié à un poteau, le regard farouche, une dernière cigarette dans la bouche, comme pour s'empêcher de crier, de protester.Protester ? Non ! L'homme paraît résigné.

    A-t-il été derrière le dernier coup d'état ? Est t-il l'un des complices de ceux qui ont tenté de faire un coup d'état en tuant le président ?

    Non ! Son seul et unique crime c'est d'avoir volé quelques bicyclettes. Pourquoi faire ? Pour nourrir quelques bouches. Ayant toujours vécu dans le besoin, Mokologobamba espérait ainsi trouver une issue à ses malheurs interminables. Il était alors loin de penser qu'il finirait un jour au milieu de cette boucherie ! Que je me permette de dire, Messieurs, que le rôle de la justice après tout, c'est bien de corriger les hommes et non pas les tuer, c'est de respecter et faire respecter la dignité de l'espèce humaine, et non d'organiser des spectacles de l'horreur !

    Sachez, Messieurs, que l'homme ne naît pas voleur, c'est le besoin, la nécessité et la pauvreté qui l'incitent à voler, et que par conséquent, il serait inhumain de condamner un homme dont le seul crime est d'avoir volé quelques bicyclettes.

    Pour finir, je tend s ma main à tous ceux qui pensent comme moi, et je joints ma parole à la leur pour crier ensemble et à haute voix :

    • Oui au droit de la vie.

    • Non à la condamnation à mort.

    • Oui à une justice au service de l'homme.

    • Condamner les hommes à mort et les exécuter publiquement est une honte pour l'Afrique et pour toute l'humanité.


    Professeur : Sara ESSAIDI

    Niveau : 1 ère année Bac


    Sujet : Parfois, on n'est pas libre dans la prise de certaines décisions.

    Développez une réflexion dans laquelle vous évoquerez quelques contraintes qui entravent la liberté .

    Naturellement, l'homme est né libre dans le choix et la prise de certaines décisions. Il est maître de soi, de ses actes et de la situation dans laquelle il vit. Mais il y a des moments où on est contraints à subir des décisions qui ne dépendent plus de notre volonté. Quelles pourraient -être les causes de cette dépendance ?

    En effet, l'homme est sociable de nature car il entretient des relations avec les autres, et donc ses actes sont régis par un ensemble de lois et de valeurs comme la religion, les moeurs, les habitudes et les valeurs sociales. Ce sont ces dernières qui réglementent nos comportements.

    Dans ces cas, notre marge de liberté se trouve restreinte et l'homme se trouve astreint à subir les décisions des autres, ainsi par exemple, les parents interviennent dans le choix des études, du partenaire, des amis. Cette intervention des parents, les normes parfois exigeantes de la société, outre le destin constituent les principaux facteurs qui régissent notre liberté.

    Pour conclure, ont peut dire que l'homme n'est pas libre dans le choix de quelques décisions, vu son statut social et sa dépendance des autres.


    Professeur : Sara ESSAIDI Une réflexion sur le rôle de l'école dans la formation de bons citoyens.
    Sujet : Chaque enfant qu'on enseigne est un homme qu'on gagne, Quatre vingt dix voleurs sur cent qui sont au bagne Ne sont jamais allés à l'école une fois, Et ne savent pas lire et signent d'une croix.
    A la lumière de ces vers de Victor HUGO, développez une réflexion sur le rôle de l'école dans la formation de bons citoyens.
    Le taux d'alphabétisation d'un pays est un indicateur déterminant pour évaluer son degré de développement. L'analphabétisme est en effet un obstacle majeur aux progrès. Dans ce monde en pleine évolution, l'analphabète n'a pas d'avenir. Comment pourra-t-il communiquer avec les autres s'il ne sait ni lire ni écrire ? Comment prendra-t-il connaissance de l'actualité ? Comment pourra-t-il s'imposer dans la vie s'il ne peut pas faire usage de la lecture et de l'écriture ? L'analphabète est souvent assimilé à un handicapé mais l'analphabète aujourd'hui c'est aussi celui qui ne connaît qu'une seule langue. On ne le répètera jamais assez : l'analphabète doit se prendre en charge pour apprendre à lire et à écrire, mais des personnes instruites sont appelées de leur part à les aider à sortir de sa situation. Pour conclure, on peut dire que l'analphabétisme ronge la société et l'empêche de se développer. C'est un drame contre lequel tout le monde doit lutter.

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