« De l'exactitude historique en poésie »
ou la réécriture de l'Histoire dans la poésie d'Aragon

Abdelhak FALAQ, E.N.S. - Meknès

Dans de l'exactitude historique en poésie (1), Aragon met en évidence les caractéristiques essentielles de l'expérience poétique médiévale perçue comme relation intime, intersubjective qui unira le lecteur de Les Yeux d'Elsa ou du Crève coeur (2) avec les personnages et les événements de l'Histoire. La richesse du vécu émotionnel causé par la défaite de la France durant la seconde guerre mondiale et la force des représentations imaginaires ou réelles, quoique inspirées par l'urgence historique, renvoient à l'histoire affective du poète qui se voit contraint de mettre la poésie médiévale au service des circonstances tragiques de l'occupation de la France.
La poétique médiévale est, pour ainsi dire, ce phénomène singulier par lequel le lecteur, recevant du texte une nouvelle impulsion qui modifie ses affections et ses à priori de la défaite, se perçoit simultanément comme conscience de soi et conscience du texte dans un mouvement qui se ravive en s'activant grâce à la contrebande (3) pour devenir cette conscience libérée.
Ainsi, la défense des circonstances de la poésie dans lesquelles Le crève-cour, Les Yeux d'Elsa ont été écrits et qui débordent largement la poésie de circonstances (4) est - elle donc, en même temps, une défense de l'historicité « exacte » des textes et le lieu d'une véritable rencontre des subjectivités, par delà l'argumentation et l'idéologie qui sous-tendent les textes en prose qui encadrent la poésie dans les deux recueils cités.
Aussi nous demandons nous : quels rapports entretiennent la poésie et l'Histoire? Sous quelles formes nouvelles le poète national réécrit-il les événements tragiques qu'a connus la France des années de guerre? Comment le résistant et l'organisateur des réseaux clandestins redevient-il le troubadour puisant son chant aux sources médiévales de l'épopée et de la courtoisie?
Notre propos sera ainsi de montrer que le lien entre l'exact historique et le poétique n'a rien de paradoxal, que si la poésie de la résistance fait appel à une mémoire collective, elle est contrainte d'obéir aux démons analogies (5) en empruntant des voies obliques et un langage crypte' pour échapper à la censure.
I- L'inévitable rencontre :
Pour parer à l'instable poétique des années de guerre, Aragon s'accapare du présent de la défaite pour le réorienter vers le >Même siècle, il faut que s'effectue, pour lui, la rencontre nécessaire du poète contemporain et des troubadours, ces inventeurs de formes poétiques (6), l'occasion lui a été fournie par la déroute de l'armée française qui s'est repliée dans cette petite ville de Dordogne appelée Ribérac (7), ancien fief du gentilhomme maître Arnaud Daniel, grand poète troubadour du 12 siècle que Dante et Pétrarque ont reconnu comme leur maître incontesté. Le choix du XlIème comme cadre poétique, comme thème cachant d'autres thèmes, n'est pas innocent. Car il se trouve que ce temps de division du pays par sa langue (l'Oc au sud, l'Oïl au nord) et darissall terre, est à l'origine de la poésie française enfm libérée du joug romain. C'est ce siècle qui invente la langue et la forme françaises, ses genres poétiques, ses rimes, ses thèmes et ses héros : LanCelot, Perceval, Arnaud Daniel, l'inventeur du «dus trover» c'est-à-dire de l'art fermé qui « permettait aux poètes de chanter leur dames en présence même de leurs seigneurs. Il n'était point si fermé qu'il le fût pour les autres... ». A partir de là, l'appel à une poésie qui dit les choses sans les dire vraiment participe à ce travail général de familiarisation avec les images poétiques, les mythes, les légendes. L'intertexte médiéval devient ' donc une méthode de création en même temps qu'une implication de la poésie dans le combat, car évidemment, le souci d'Aragon, en sollicitant ces hautes figures de l'imaginaire européen que sont les chevaliers du moyen âge, est de montrer qu'ils sont les représentants de la courtoisie et du culte de la femme, des figures du lyrisme, de l'engagement et non les images de la virilité guerrière ainsi que le voulait l'idéologie nazie.
De ce fait, si Aragon puise dans la poésie médiévale et renaissante, c'est d'abord parce que les temps troublés se ressemblent beaucoup (8) et aussi parce qu'il veut renvoyer le poème à sa propre archéologie. En remontant le cours de l'histoire jusqu'au 12 siècle, Aragon cherche à fixer une fois pour toutes les questions inhérentes au code poétique a l'on voit apparaître la poésie telle que nous l'entendons aujourd'hui encore : c'est à la fois la poésie épique des chansons de geste, la poésie lyrique et, invention prodigieuse, le roman. Le même demi-siècle engendre le vers français, l'assonance, le rythme, les mètres qui pour huit siècles régiront nos rêves, l'octosyllabe, l'alexandrin, le décasyllabe.. En un mot il crée la langue et la forme françaises, invente les genres poétiques, en complique les lois et les modes, fait apparaître la distinction entre rimes masculines et féminines, imagine les strophes, tous les raffinements de la poétique, si bien que les poètes du dix-neuvième siècle cherchant du nouveau ne feront, de Hugo à Verlaine. que réinventer les trouvailles du douzième » (9).
Aux secrets de fabrication des vers et de leurs constructions sonores qui les rapprochent du lai médiéval s'ajoutent l'invention du lyrisme, la morale courtoise, le chant individué qui devient cantique. Cette historicité 'exacte' qu'elle soit présentée en prose ou en poésie vise irrémédiablement la démonstration de l'enrichissement poétique qu'a légué le douzième siècle. Mais enrichissement par les exemples du passé ne signifie pas pour autant soumission, continuation ou réification dans une attitude passéiste; aussi tout comme pour le recours à la rime qui tout à la fois s'appuie sur le passé pour le renouveler, la dette payée par Aragon à ses prédécesseurs ne l'empêche pas de chercher à innover et, curieusement, c'est à son expérience de moderne, à l'expérience surréaliste de naguère, qu'Aragon en appelle alors pour en fournir la preuve «j'ai trop profondément, et du meilleur de moi-même, participé au courant de la poésie contemporaine pour accepter que du moment où je me borne pas à ses formes passagères, mais cherche à poursuivre avec elle, et riche de tout l'héritage français des siècles, cette expérience du langage divin, on assimile cette quête passionnée à des façons de faire qui réussissent à d'autres , mais qui sont étrangères (10)
Une autre raison que celle du banal enrichissement » plus cachée car politique, explique cette volonté d'Aragon de concilier la tradition poétique et particulièrement son expression la plus polémique puisque porteuse d'une cloaca. En effet.en récupérant cette tradition poétique plutôt qu'en la contestant comme du temps du traité de style (1927). Aragon entend, en réalité, se faire le chantre d' un trésor national propre à redonner confiance dans un temps de défaite. Car s'il s'agit pour Aragon d'aimer tous les poètes, c'est surtout parce que dans les circonstances dramatiques de l'occupation nazie, le poète a pour devoir de rendre à son pays une fierté littéraire qui compensera la reddition des armes : «j'ai cherché dans les conditions dramatiques de la poésie et du monde modernes, à donner corps à cette voix errante, à incarner la poésie française dans l' immense chair française martyrisée » (11)
II- Des «Plaintes» à l'ensemble du recueil : La prégnance du médiéval
Rompu aux secrets de fabrication des vers (l'expérience surréaliste aidant) le poète explore tous les imaginaires possibles, et surtout celui du douzième siècle, pour en extraire la matière dont il se sert pour alimenter son dire poétique; les secrets d'introspection, de transmutation, d'envoûtement, d'alchimie s'expliquent par le travail du « prestidigitateur qui brûle ses tours sitôt faits en les expliquant au public » (12)
De l'alchimiste initié à la quintessence des métaux, on passe à l'inventeur aux pouvoirs prométhéens.
J'ai retiré ce radium de la pechblende
Et j' ai brûlé mes doigts à ce feu défendu
Les Yeux d'Elsa

Cette libération de la parole étouffée ou inaccessible « donner voix aux morts aux vivants et plonger ses doigts dans la cendre y débeullonner les grillons 413) doit passer inéluctablement par l'unification de tous les circuits historiques ou allégoriques autour d'une unité nationale qui représenterait le peuple et qui lui permettrait de se reconnaître dans et à travers « cette parole qui répond en nous au chant que nous entendons hors de nous » (14)
Les secrets qui lui sont octroyés, comme à Lancelot par la fée Morgane, doivent être mis au service d'une noble cause, celle de la célébration de la mémoire des morts qui réclament réhabilitation et vengeance c'est pourquoi :
« Le poète » ne croi « t » pas à tes métamorphoses « L'aigle déguisé en rossignol »
Je ne veux pas de plaisir que ceux de mon malheur C'est trop d'un rameau vert sur l'arbre où je me pose Je m'enfuirai d'un pré pour une seule rose
C'est une insulte qu'une fleur (contre la Poésie pure)
On sait que le malheur est rattaché au mois de mai, ce terrible mois des morts, de ceux qui sont fusillés par les Allemands :
Pour vous et moi compagnons de ma guerre à moi tombés Non je n'ai pas perdu mémoire de toi courbeur de fer [Jean Pierre Timbaud, dirigent de syndicat CGT de la métallurgie, fusillé à Chateaubriand]
Qui d'un seul mot savait faire retourner toute une rue De toi non plus homme calomnié qui portait sur la vie Tes yeux clairs d'aiguilleur à l'approche des roues
[ Pierre Semard, cheminot, fusillé à clairvaux, en avril 1942 ]
Je n'ai pas perdu ta mémoire à toi non plus philosophe aux cheveux roux [ Politzer ]
Ni la tienne avant rage blanchie d'avoir dédaigné le repos [ lucien sampaix, fusillé en décembre 1941 avec Peri ]
Ni la mémoire de celui- ci qui chanta comme un cygne
Et semblait un prince fait de cette argile de Phénicie
Dont on n'a jamais retrouvé depuis l'antiquité le secret de finesse [ Gabriel Peri ]
Saurais-je un jour comme vous mourir mais tout ceci Vaut seulement en route

Contrairement au joli mai des Rhénanes que le poète Apollinaire mêle à un érotisme diffus, aux sensations obsessionnelles qui lui rappellent son amour. Ce mois d'Aragon est toujours à la rime ou à la césure et est associé à la défaite, à l'angoisse dues aux souvenirs de ces amis fusillés, d'où son importance dans tout le recueil parce qu'il ne génère pas les évocations printanières auxquelles il reste insensible, mais produit plutôt des mots (proches de mort) qui se modulent selon des accents tragiques :
Une bouche suffit au mois de mai des mots...
Il leur fallait tes yeux et leurs secrets gémeaux (15)

Pour être poétiques, ces yeux doivent renfermer des secrets comme ces anciennes héroïnes qui auraient donné naissance aux constellations, à celles des gémeaux notamment. C'est à cette tâche que les rimes doivent s'atteler pour construire le renouveau poétique car « à un monde nouveau doivent correspondre des rimes nouvelles, il n'est pas vrai qu'il n'est point de rimes nouvelles quand il est un monde nouveau » déclarait Aragon dans la revue Poètes casqués de Seghers.
Ce renouveau poétique est-il synonyme d'affranchissement des cadres métriques et prosodiques hérités de la poésie traditionnelle? L'efficacité historique en poésie ne court-elle pas le risque d'être subordonnée aux enjeux de la virtuosité technique? Le propos de 1943, filant de superbes métaphores, n'est-il pas l'exemple même de cette poésie enfermée dans un encodage qui la contraint à se développer malgré elle?
Il n'est pas nécessaire de démontrer que la poésie aragonienne est celle de l'écho, au sens hugolien du terme, c'est à dire qu'elle est « l'écho de ce chant qui répond en nous au chant que nous entendons hors de nous ». La voix intérieure du poète renvoie l'écho qu'elle reçoit du monde extérieur, tout se passe comme si le poète se saisissait de l'événement historique, l'analysait, le transforme et l'envoyait transmuté en beauté émanant de la faiblesse. Ce noeud de résonances où chaque mot chanté • reprend la route inverse des coeurs, et de sa note harmonique brise loin dans le monde un cristal par ici, et par là un verre grossier »
Ce cristal est à l'image de ces diamants qui naissent au fonds des larmes, alors le verre grossier pourrait être celui du détournement du sens de la mascarade vichyste, du carnaval de Nice.
On voit péricliter les valeurs sures
Et fuir la vie à la six-quatre-deux (16).

Cet écho sonore a la possibilité de s'amplifier jusqu'au point de devenir angoissant, le poème «C» (17) reproduit, par le retour de la même rime multipliée davantage par les rimes intérieures, l'écho de la déroute et l'amertume du poète
Etj'ai bu comme un lait glacé
Le long lai des gloires faussées (17)

Cette « mérencolie » (18) qui se réverbère dans la voix intérieure du poète est reproduite par une série de jeux allitérants, qui dans l'extrait de l'art poétique proposé, sont dominants; les occlusives et les vibrantes vélaires et dentales tracent un cheminement écholocatif dont la rime est le point nodal où se répercutent et se juxtaposent, après avoir été séparées, les deux consonnes qui forment la texture des mots clés de l'extrait. La seule chuintante (spirante) qui débute le mot charme, redonne vie et courage à ces larmes pour l'emporter sur les armes « désamorcées car privées de leurs têtes »
Pour mes amis morts en mai Et pour eux seuls désormais Que mes rimes aient le charme
Qu'ont les larmes sur les armes.

Ces considérations stylistiques n'épuisent pas toute la symbolique de la mise en parallèle des armes et des larmes, elles permettent néanmoins de comprendre le dispositif «contrebandiste» mis en oeuvre dans les Yeux d'Elsa.
La place militante assignée à la rime s'explique par le fait qu'elle peut revêtir cette ampleur d'orchestre de toutes les souffrances puisqu'elle est née dans la souffrance même. A regarder de très prés ces deux distiques, on constate que la rime senée du premier vers (retour régulier de la rime interne au début de tous les mots du vers) et qui se propage dans les vers suivants, ne manque pas de rappeler toute cette série thématique construite sur la réitération de la même disposition euphonique.
Mal endormis mal enterrés p .38 (la Nuit de mai).
Comme un marin qui meurt en mer en plein mois d'Août p.34 (les Yeux d'Elsa).
Dans la mer où les morts se mêlent aux varechs p.39 (la Nuit de Dunicerque).
Ce jeu habile d'homophonies tisse en effet la trame de ce qui sera célébré comme le point de départ de l'illusion par la formule magique qui tente d'opérer le sortilège capable de transformer les larmes en armes, en d'autres larmes. La multiplication des échos sonores oxygénera la strophe étouffée sous le poids des armes et ourdira de façon prémonitoire les combats futurs. Dés lors l'outrage
Il n'en sera pas moins réparé et les « Beaux fils de France » pourront alors participer à la valse d'Elsa.
La terre accouchera d'un soleil sans batailles Il faut que la guerre s'en aille
Mais seulement que l'homme en sorte triomphant.
(19)
L'encodage ne vise donc pas uniquement à surprendre le pouvoir mis en place par la dissémination des vers patriotiques
l'intérieur d'un recueil, si peu soupçonnable, parce qu'il chante l'amour, il participe à ce frémissement espéré chez le lecteur par la combinaison voire le télescopage des antonymes, la rencontre du gracile et du tragique pour parvenir à créer cette émotion singulière presque dérangeante.
Le visage sacré s'il doit renaître un jour ma patrie et la faim et l'amour (20)
Conclusion :
Pour écrire en première ligne avec la technique des troubadours, Il s'agit de puiser dans la tradition nationale, celle du illoyen-Âge pour dresser l'ensemble de la poésie contre la catastrophe nationale, Le projet ne manque pas assurément de cohérence, car cette volonté démonstrative de renouer avec une tradition, une culture et une histoire nationales incarnées par quelques figures héroïques en cette période de guerre, d'ailleurs peu favorable à l'expression poétique de la révolte et du sentiment national, a de quoi surprendre et en premier lieu Elsa elle-même qui lui reproche de « se griser des philtres anciens ». Qui déforment la réalité. C'est pourquoi le poète doit déplacer, coller, imiter, parodier et s'enrichir en « pervertissant l'ensemble d'une lyre qu'il maîtrise à la perfection. ».
C'est aussi grâce aux mythes que le «témoin des martyrs» peut non seulement faire rêver mais faire agir. Les songeries « comme celles d'Arles » ont la part de charme pour créer cette cohésion, cette unité qui paraît si désirable.
Avivé par le sentiment que l'Histoire et la Poésie tiennent leur prestige des hasards qui les animent, par la tentation de la rupture éclatante presque baroque de la rencontre des troubadours avec le poète d'Elsa, Aragon fait d'abord de la communion un principe de base pour honorer la mémoire des morts, ceux fusillées pour la cause ou ensevelis sous les eaux de la Loire.
Puis par un retentissement qu'opère le charme à la rime (21), comme le chaînon qui établit une relation entre la vie et sa métamorphose, la brisure faite au coeur du poète, par l'événement tragique, se meut en force rassurante perceptible dans le conglomérat des accords souterrains des effets euphoniques dont l'écho redonne confiance aux français et les invite à s'unir pour combattre l'oppresseur.
Tous les français ressemblent à Blondel
Quelque soit le nom dont nous l'appelions
La liberté comme
un bruissement d'ailes
Répond au chant de Richard - coeur - de Lion (22)

Notes : 1.- longue introduction à En étrange pays dans mon pays lui-même, recueil d'Aragon publié dans la revue Europe en 1946.
2.- Recueils datant respectivement de 1942 et 1941.
3.- La contrebande ou oeuvre de contrebande comme la qualifiait l'auteur lui-même, sans doute parce qu'elle aurait su tromper la vigilance de la censure par une symbolique qui se dérobe sans cesse à sa propre caractérisation. s'échappe dès qu'on croit la saisir, résiste, plus qu'à l'occupant. aux classifications rapides, elle est « l'art de faire naître des sentiments interdits avec les paroles autorisées ».
4.- La poésie de circonstance. classification axiologique trop hâtivement collée à la poésie de la résistance jugée réductrice et artificielle.
5.-Les dénions analogies : il s'agit de correspondances tissées entre l'amour de la femme et celui de la patrie, entre Elsa et la France, cette expression sert de clausule au poème : Le regard de Rancé, quatrième section du Cantique à Elsa. p : 95 de les Yeux d'Elsa.
6.- Le troubadour est celui qui • trouve • (trobar en langue d'oc).
7. - Dans La leçon de Ribérac, première appendice du recueil Les yeux d'Elsa, il est question de cette région de France qui inspira à Aragon le goût des rapprochements intertextuels ente le moyen âge et la situation en 1942.
8.- La thématique de la ressemblance est omniprésente dans les deux recueils cités.
9.- La leçon de Ribérac p.123.
10.- Arma Virumque Cano, préface des Yeux d'Elsa, p.27.
11.- ibidem.
12.- ibidem, p.12.
13.- Pour un chant national, p.77.
14.- Ce livre est « l'écho...de ce chant qui répond en nous au chant que nous entendons hors de nous » p.31.
15.- Les Yeux d'Elsa, poème liminaire, p. 34.
16.- Fêtes Galantes, p.50.
17.- «C »,p.55.
18.- A chacun sa musique et sa merencolie, Chanson de récréance, p.74
19. Elsa Valse, Les yaux d'Elsa, p.112
20. Plus belle que les larmes, p.87.
22. Richard - Coeur de lion, p.74


Pour citer cet article :
Auteur : Abdelhak Falaq(ENS de Meknès) -   - Titre : La réécriture de histoire dans la poésie Aragon,
Url :[https://www.marocagreg.com/doss/monographies/oualili/Histoire_poesie_Aragon.php]
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